Ciel, vent, étoiles et poèmes
C’est le nom du recueil de poèmes qui a été écrit en 1948. Le poète Dong juYoon est né en 1917 en Corée sous l’occupation du Japon. Et cette année, 2017 est le centième anniversaire de sa naissance. A cause de l’évacuation, il a grandi en Chine. Au début, il a commencé à écrire des poèmes pour enfants. Mais après avoir déménagé à Seoul, la capitale de la Corée, il était en face de la réalité de son pays, en choque il a cessé d’écrire les poèmes qui décrivent l’espoir et la paix.
Il étudiait la littérature anglaise à l’université du Japon, mais l’année suivante en 1943, il s’est arrêté à l’inculpation de participer au mouvement d’indépendance de la Corée. Il est mort en prison en février 1945, avant six mois d’indépendance. Il avait 28 ans.
Malgré sa vie très courte, ses poèmes décrivaient la conscience de l’innocence et la volonté pour la vie. Maintenant il est le poète que les coréens aiment le plus.
La nuit de compter les étoiles
Dans le ciel en passant les saisons
Il est plein d’automne.
Je compterais toutes les étoiles dans l’automne
Sans aucune inquiétude.
Les étoiles gravées sur mon cœur
Maintenant, je ne pourrais pas toutes les compter.
C’est pourquoi le matin arrivera aussitôt,
Et la nuit restera là,
Et ma jeunesse ne s’épuise pas encore.
À une étoile, le souvenir
À une étoile, l’amour
À une étoile, la tristesse
À une étoile, le rêve
À une étoile, le poème
À une étoile, mère, ma mère
….
Quelque chose me manque,
À cette colline de lueur des étoiles.
J’écrirais mon nom
Après je l’ai couvert de terre.
….
Mais si l’hiver passe et le printemps arrive à mon étoile,
Comme l’herbe pousse sur la tombe
Sur cette colline où mon nom s’enfouit
L’herbe poussera dru fièrement.
La préface en vers
Regardant en haut le ciel pour le restant de mes jours
Je prie pour qu’il n’y ait rien de honteux.
Malgré le vent faible aux feuilles d’un arbre
J’avais de la peine
Au cœur en récitant les étoiles
J’aimerai tous les mourants
Et je dois parcourir le chemin qui m’est conféré.
Un chemin
J’ai perdu
Je ne saispas quoi et où je l’ai perdu
Mes mains en fouillant
Je m’avance vers chemin.
Une pierre et une pierre l’une après l’autre,
Le chemin va en bordure du mur de pierre.
Le mur ferme la porte
Une Poème étant écrit facilement
La pluie nocturne chuchote par la fenêtre
Cette petite pièce est autre pays
Même si je connais la fatalité du poète,
Je vais écrire une phrase du poème
En ayant reçu une enveloppe de frais d’études
Qui gros de la sueur et l’amour
Avec les grands cahiers
Je vais au cours du vieux professeur.
Si je réfléchis,
En perdant tous mes amis d’enfance
Lequel je veux ?
Lequel me veut ?
Moi, seulement je me précipite
On dit que la vie est difficile
C’est honteux qu’un poème soit écrit facilement.
Cette petite pièce est en autre pays
La pluie nocturne chuchote par la fenêtre
Je bannis un peu l’obscurité en allumantune lampe,
Attendant le matin qui vient comme l’époque,
Moi, le dernier.
En 2012 à Séoul, Le mémorial a ouvert pour apprécier sa littérature prés de son école. Ce bâtiment était le réservoir d’eau qui n’était plus utilisé, il a été reconstruit pour le politique de la reconstruction. L’intérieur du réservoir d’eau devient la salle de la vidéo, nous pouvons apprécier la littérature avec le son, et l’image.
Adresse : 119 Changuimun-ro, Cheongunhyoja-dong, Jongno-gu, Seoul, South Korea
Téléphone: +82 2-2148-4175
Images:
Article de Heewon Lee
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