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Paris est à nous - Critique de Juliette


Paris est à nous c’est un film bizarre mais très agréable à voir parce qu’est constamment stimulé pour des enregistrements qui vibrent de manière minutieuse et sensible. Il me semble que tout l’esthétisme qu’on peut trouver a un symbolisme et ainsi donner vie à un tas d'idées submergées et formées qui naissent de l’intérieur d’Anna et de sa difficulté à se situer dans le présent parce qu’habiter dans le passé paraissait moins angoissant et moins tourmenteur.


À mon avis, les mises en scènes et les sentiments qu’Anna exprime tout au long du film montrent un phénomène normal dans notre société puisque tout ce qui se passe a été mieux que le présent et elle accepte cela d’une manière « Absurdiste » parce qu’elle assume le non-sens des choses avec sérénité. Mais il y a des fois ou elle chute dans le désespoir. Par exemple, elle compare la vie avec les « Sims » parce qu’elle ne ‘a jamais jamais quittée parce que tout est prévisible ou vide et de la même manière que les « Sims » nous sommes dans un monde virtuel comme eux. De la même manière, elle dit qu’elle veut rester étrangère à tout, en plus on peut voir comment Anna coule lentement, il y a une scène où elle est en train de s’étouffer et on peut constater la bataille interne qu’elle porte. Les lumières, le bruit et la musique angoissante donne une série des sensations qui l’accompagnent incroyablement.


Elle se sent fréquemment asphyxiée pour la désespération d’habiter coincée dans un présent qui ne lui donne pas vie où elle n’a pas d’espoir, rêves et motivations. Au contraire, son petit ami « Greg » a des perspectives comme s’installer à Barcelone avec Anna non seulement pour changer d’ambiance mais aussi pour éviter que la routine les mange.


Les personnages principaux sont très différents : Anna est pleine de peurs qui la torturent tandis que Greg accepte l’avenir. Les différences qu’ils ont causent discussions dans des espaces publics et des difficultés pour se comprendre l’un et l’autre. Cependant, ils ont des moments merveilleux comme le cas de la plage où on peut réaliser qu’ils ont une connexion magique.


Pendant le déroulement de l’histoire on peut identifier différents lieux de Paris comme l’Opéra, les parcs et le cimetière. Dans cette dernière, on peut identifier qu’Anna n’est pas la seule qui a souffert des difficultés pour faire face à la vie et à la réalité parce qu’elle a trouvé un homme qui a vu de très près la mort, celle de sa fille, il appelle ce moment comme « sous-marin ».


Anna ne peut pas traverser le mur qui l’enferme et qui ne lui permet pas de profiter de la vie et de la réalité du présent. Paris c’est le lieu où elle a eu ses uniques moments de bonheur. En résumé, Paris c’est le monde qui contient tout pour elle, c’est le seul lieu qui l’a déjà dans le passé fait se sentir vivante.


Article de Juliette Munoz

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