Tous les quatre ans les amoureux du football attendent excités la Coupe du monde mais on ne pense pas aux conséquences qui peuvent affecter quelqu’un.
Actuellement, il y a beaucoup de personnes qui meurent de faim chaque jour ou à cause de maladies pas communes dans les pays développés. Il y a également des enfants qui ne peuvent pas étudier dans des pays sous-développés. Il faut se demander si tout l’argent qu’on dépense au mondial de football est vraiment une bonne option au lieu de construire de nouveaux hôpitaux, collèges ou pour acheter de la nourriture pour les plus pauvres.
Malgré toutes ses mauvaises conséquences, le mondial fait réunir beaucoup de familles et de différentes cultures pour voir les matchs, c’est une très bonne idée pour partager le temps avec de nouvelles personnes. C’est toujours une bonne option de parler avec des autres qui ne pensent pas comme toi pour monter les échelons de la vie de quelqu’un. C’est aussi important de ne pas oublier que la rivalité peut peut-être devenir agressive et cela peut créer des problèmes.
Rivaldo, champion du monde avec le Brésil en 2002, a dénoncé le fait que certains stades du Mondial dépensaient beaucoup d’argent pour seulement un mois et il pensait que le Brésil avait bien d’autres priorités comme construire des écoles, des hôpitaux ou des prisons. Le gouvernement brésilien a investi pour la Coupe du Monde 2014 11 milliards de dollars, supérieure à celles qui ont été consacrées aux Coupe du Monde en Allemagne et en Afrique du Sud.
La coupe du monde peut revenir un grand problème mais aussi il peut tenir l’union d’un pays. Tous les amis sont réunis le jour où son équipe joue, tout le monde est palpitant et attend la victoire de son pays. N’importe l’âge, n’importe le lieu, n’importe la culture, à mon avis, c’est passionnant de voir le mondial. Je me rappelle que quand l’Espagne a gagné le mondial en 2010, tous les espagnols ont fait la fête et on célébrer le goal d’Iniesta comme si s’était la naissance d’un fils. Les Espagnols criaient de joie.
Pour conclure, je dirais qu’il y a des choses mauvaises et que tout l’argent que les pays dépensent en construisant les stades, pourraient l’utiliser pour d’autres domaines comme médicaments ou de la nourriture pour les personnes pauvres. Par contre, c’est un mois tous les quatre ans auquel je sens que le patriotisme et l’union sont unis pour s’amuser et pour profiter du football.
Article de Maria Guillén Diaz
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