Samedi dernier les couleurs commençaient à être plus insistantes, plus voyantes, avec un unique but qui arrivait à la tête et au cœur de toutes les personnes : des touristes, des gens qui cherchaient une nouvelle vie, une opportunité ici; les étrangers, mais surtout une nation ; celle de la France. Cette France qui a gagné sa liberté sur la monarchie d’une église soutenue, dévouée et aisée ; contrairement aux personnes qui souhaitaient une nation plus juste et de cette forme la congrégation des personnes dans les endroits les plus représentatifs et proches de la Tour Eiffel où les personnes ont partagé, ont dansé, ont crié et ont pleuré pour ce qui les constitue.
La fête a continué le jour suivant, quand tout le monde regardait le match, le match qui changerait les sentiments de tous, des fans jusqu’aux plus désintéressés. Même jusqu’à ceux qui n’avaient plus leurs équipes à la finale, aux quart de final ou simplement n’avaient pas été classiques pour une équipe; ainsi que les joueurs changeaient de position ; les émotions revenaient plus ou moins intensives, les rues ont été complément tranquilles, tous étaient attentifs à ce que souhaitait la coupe de monde.
Apres les quatre-vingt-dix minutes les plus intensives et escomptés; la France avait gagné, non seulement un prix, ainsi que l’amour et le bonheur des français, la reconnaissance des nations et aussi la mémoire des personnes qui avaient été présentes pendant la coupe de 1998.
La vague de la victoire avait pu se voir sur tous les visages, un moment que les personnes n’oublieront jamais, on se rappelle des mots qui se trouvent à l’entrée du musée de l’histoire de France “A toutes les gloires de la France“
“Après, l’histoire s’écrit toute seule. Ce sont les joueurs qui décident et les Français avec eux” Emmanuel Macron
Article de Fernanda Montoya
Le 25.07.2018.